Revivez le programme de la semaine du 6 au 10 juillet 2020 par Zoom, où que vous soyez.
Ce lien, nous souhaitons le nourrir toute l’année en créant des ponts entre participants et intervenants, en vue des Rencontres de 2021.
En quoi Sabatai Tsvi est-il le chantre de l’interculturalité ? En quoi le marranisme est-il au cœur de l’histoire de l’identité juive ? Influences plurielles dans
les visions de Louria.
Attendez-vous à ce que Marc-Henri, comme à son habitude, nous fasse découvrir à la lumière de la critique historique, des facettes surprenantes de cette histoire qui dérange, histoire à rebondissements aussi troublants qu’un secret de famille.
Un temps pour écouter, un temps pour échanger, pour des grandes personnes. Un rêve devient une broderie qu’un coup de vent fait disparaitre pour être retrouvée ensuite et pour enfin se réaliser. Un conte évoquant notre capacité à réaliser nos désirs et le nécessaire détour par le rêve.
PAR LA SUITE : Si ce conte vous a plu et que vous êtes à Paris le 16 juillet à 19 h 30, rendez-vous au restaurant de la mosquée, en face du jardin des plantes, pour « Un Nouveau Départ ». Formule histoire-repas, thé, dessert à 30 €. Réservation obligatoire au 06 16 60 88 31
Comment l’histoire anthropologique des hommes peut éclairer les bases sur lesquelles les relations entre les humains et le monde ont été bâties avec ses inégalités, exclusions, guerres et destruction de la planète.
Comme a son habitude, Fabienne partage avec nous une manière, hors sentiers battus, de voir les hommes, leurs choix, leurs manières de faire et d’être.
Voir un entretien de Yuval Noah Harari dans Télérama.
Sapiens de Yuval Noah Harari aux éditions Albin Michel, à lire pour juillet 2021, à discuter le long de l’année.
Une évocation des transformations intérieures, sociétales et de l’univers. Avec la "Métamorphose d’une mélodie", I.-L. Peretz nous emmène au cœur de la civilisation hassidique et de son lien passionné avec la musique, où la tradition juive voit, au côté de la prière, la célébration majeure par l’homme de son Créateur.
Dans un versant plus prosaïque les personnages se côtoient, se disputent, changent d’une génération à l'autre et la trouvaille mélodique du chantre de Talne se met à circuler du mariage de Kiev à l’opéra de Berlin, à la chanteuse de rue, jeune fille volée pour arriver à l’érudit qui, imbibé de cette mélodie, fait bonne figure auprès de l’illustre rabbi qui lui rend visite.
« Les Juifs de Belleville » de Benjamin Schlevin (Paris 1948) fait revivre les premiers pas des juifs polonais et roumains dans la capitale française, au lendemain de la Première Guerre mondiale. Arrivés à la Gare du Nord sans un sou pour échapper aux violences et aux rigueurs de leurs pays natals, ils découvrent les rues de Belleville, si marginales au sein de Paris. Entre labeur et chômage, solitude et solidarité, nostalgie et enthousiasme, c’est une fresque faite de parcours singuliers qui luttent pour leur destin, entre souvenirs et la découverte du pays d'accueil.